Toi qui aux rires exsangues Mange du fois de morue à la paille en plastique Au milieu de méchants salauds Gentille salope Tu mérites ton dû Ta force inonde le marché de l’art Tu brilles Ils ne voient rien ces barbares …
Mensonge ou vérité, les pouvoirs terrestres s’enfoncent dans nos cranes pour en chasser les souffles salvateurs, vent debout sur la carène à pencher l’arrière aux songes des tripes dans des carrières de basaltes dont un souffre inouï jacte.
Roberto révolu saute au travers le vide, pèlerin du qu’en dira-t-on, traverse toute identité. Cube rouge. forêt verte. Joie blanche pétillant dans la nuit couleur d’hirondelle.
Awa n’est pas triste Sortir un peu prendre l’air Jardin pourri sans humeur Et sans couleur
le poète est un ouvreur de sens un écorcheur de mots il les traverse et les perce aussi pas de dico sinon le dico du coeur et la vibration se fait sens l’azur alors dessine sa bleuité, n’en finit pas…
Sublime, revisité, dans le salon Retour en arrière des oiseaux de passage Multitulipes, châmeaux chatoyants Frênes frêles indiquant une porte Soleil mort puis revivifiant, écritures semi-obsolètes, puis le même message Faire se suivre les survivances répétées qui mouchetées donnent l’impression…
